L'EAU, danger pour l'humanité
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Ce documentaire, L'eau, arme absolue (1h18), met en évidence que l'eau est devenue au cours du XXème siècle le nouvel "Or bleu", ressource de plus en plus rare et de moins en moins potable, éxploitée au détriment de l'humanité.
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En 1996, les scientifiques estimaient que l'humanité avait utilisé plus du tiers de ses ressources en eau. Si l'augmentation de la consommation persiste, en 2025, la majorité de la planète vivra dans des conditions d'approvisionnement dramatiques.
Depuis un siècle, la consommation d'eau par habitant a été multipliée par 6, si bien qu'on assiste à un épuisement progressif.
En 1996, les scientifiques estimaient que l'humanité avait utilisé plus du tiers de ses ressources en eau. Si l'augmentation de la consommation persiste, en 2025, la majorité de la planète vivra dans des conditions d'approvisionnement dramatiques.
Depuis un siècle, la consommation d'eau par habitant a été multipliée par 6, si bien qu'on assiste à un épuisement progressif.
Dans les prochaines années, on estime que les disponibilités en eau devraient restées identiques ou presque dans les pays industrialisés, tandis qu'en Asie, en Afrique et surtout en Amérique du sud, les ressources diminueront, liées à l'explosion démographique.
L'utilisation quasi continue de l'eau empêche le renouvellement des nappes phréatiques, notamment dans les régions où le climat assure une très faible pluviométrie, et là où il y a une surconsommation des industries.
Les pollutions de l'eau quant à elles, proviennent du rejet dans le milieu naturel d'effluents directement issus des activités humaines. Les milieux aqueux sont touchés, ainsi que les écosystèmes, la flore et la faune, les forêts et les océans. Les dégradations sont liées à des polluants qui proviennent de l'industrie, l'agriculture et des besoins domestiques.
Les conséquences sont dramatiques pour les futures générations, mais également dans les pays sous-développés où la santé publique est menacée.
Indispensable au développement de la vie, l'eau n'est plus à considérer comme une ressource banale et inépuisable.
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