LE MYTHE DE LA BONNE GUERRE 1939-1945

Publié le par Galaxien

Le mythe de la bonne guerre, est une conférence incontournable (0h50) donnée par Jacques R. Pauwels, qui remet en question ce que l'on nous a appris à l'école, dans les livres, les films hollywoodiens ou certains documentaires sur les USA et la Seconde Guerre mondiale ayant agit pour leurs seuls intérêts, comme aujourd'hui, toujours prêts au pire pour pouvoir dominer le monde. Une contre-histoire de la Deuxième Guerre mondiale du libérateur américain venant mourir sur les plages de Normandie dans un but uniquement philanthropique, qui modifie radicalement notre vision du XXè siècle et offre un nouveau regard sur l’époque actuelle...

 

Jacques R. Pauwels, né à Gand, Belgique, en 1946, vit depuis une trentaine d'années au Canada. Docteur en sciences politiques et en histoire, il a enseigné ces matières à l’Université de Toronto. Il est l'auteur des livres : Le mythe de la bonne guerre, Big business avec Hitler, et La grande guerre des classes, en vidéos ci-dessous.
A en croire les films hollywoodiens, tout se serait joué lors de combats héroïques entre soldats américains et allemands. Les historiens sont toutefois unanimes : l’Allemagne nazie a été vaincue par l’Armée rouge, pas par les USA ! Jacques Pauwels, historien et auteur de cet ouvrage sur la question, revient sur cette période et explique quand, pourquoi et comment la guerre a basculé vers la défaite inéluctable de l’Allemagne nazie.

L’irruption des États-Unis dans la Deuxième Guerre mondiale doit-elle être considérée comme une croisade contre la barbarie nazie, la lutte du bien contre le mal, et pour la défense de la liberté et de la démocratie ?
Aux yeux de Jacques Pauwels, preuves à l’appui, les américains étaient, en effet, loin d’être inintéressés par les ressources économiques et la dimension géostratégique des régions qu’ils allaient libérer. Il dévoile le mythe de la "libération".
Aux États-Unis, Hitler a très longtemps été considéré comme un excellent partenaire en affaires, mais dans une guerre qui ne se déroule pas comme prévu, les alliances finissent alors par se former contre les "mauvais ennemis", avec les "mauvais alliés". Le débarquement de Normandie qui ne survient que très tard, le 6 juin 1944, fera malgré tout de ce second conflit mondial une formidable aubaine financière pour les États-Unis. En libérant une partie de l’Europe des fascistes pour la "dominer économiquement", toutes les conditions sont également réunies dès 1945 pour entamer une très longue Guerre froide...
Ils débarquèrent donc avec une idéologie, des vues politiques, une conception des rapports sociaux à préserver et, bien entendu, avec l’idée qu’il fallait assurer les intérêt de leurs entreprises et du capitalisme américain. La crainte de l’expansion communiste et le désir d’en limiter les effets ne furent évidemment pas étrangers à cette philosophie interventionniste.

D'après l'avis du site Agoravox sur le livre de Jacques R.Pauwels :
Les USA et la guerre 1939-1945 : Une "bonne" guerre ou un "engagement très intéressé" ? Jacques R.Pauwels fait certainement date dans la recherche historique sur la Deuxième Guerre mondiale par la thèse qu’il défend, sur la base d’une recherche documentaire impressionnante.
Remettant en question les poncifs de l’histoire officielle et convenue sur cette époque , non pas tellement sur les faits, mais sur l’interprétation des faits, le sens général de l’engagement des USA dans la lutte contre l’Allemagne nazie, il bouscule toutes les idées reçues, les images d’Épinal concernant cet aspect de l’histoire, l’idéalisation entretenue sur la prétendue "croisade" contre la barbarie nazie, considérée alors comme une forme de lutte du bien contre le mal. Il s’agit en fait d’une sorte de contre-histoire.

Faisant la synthèse de nombreuses études effectuées aux USA et en Allemagne notamment, il défend la thèse que la conduite de la guerre par les USA , leur intervention armée, leurs motivations, ont été avant tout guidées par des intérêts commerciaux et industriels à court ou à moyen terme. Les rapports de l’Amérique aux puissances de l’Axe ont de plus subi des variations, parfois des renversements brusques, en fonction des intérêts du moment.
On est frappé par la continuité et la cohérence de la politique de Washington avant, pendant et après la Deuxième Guerre mondiale, politique guidée par les intérêts de l’industrie américaine plus que par des idéaux de justice, de liberté et de démocratie.
Certains historiens américains avaient déjà attiré l’attention là-dessus, comme William Appelman, Gabriel Kolko, Gar Alperovitz, Charles Higham, Ed Cray, etc., mais ils sont restés plutôt "ignorés" par les historiens officiels.

Le dernier conflit mondial, du point de vue américain, paraît une "bonne guerre", la "meilleure de toutes les guerres" si on la compare aux nombreuses mauvaises guerres de l’histoire des USA, telles les guerres indiennes ou la Guerre du Vietnam, de l'Irak..., plus de 201 conflits armés sur les 60 dernières années !!
Pour l’auteur, ce fut une "bonne guerre" du point de vue américain pour trois raisons : Elle mit un terme à la grande dépression en suscitant la demande économique, elle profita beaucoup à l’élite au pouvoir en générant des profits considérables, elle contribua à donner au monde des affaires une aura exceptionnelle et une influence beaucoup plus grande sur les centres de décision politique. De plus, comme le dit Pauwels, la "pax americana" qui s’annonça promettait de poser les fondations d’un libre-échange mondial, sources de bénéfices permanents pour les dirigeants d’entreprises américains, "le TAFTA" en négociation actuellement.

Avant l’entrée en conflit de l’Allemagne nazie, des intérêts économiques puissants étaient déjà à l’œuvre au cœur du système industriel de ce pays. On ne peut les citer tous, mais on peut noter la présence depuis les années vingt des firmes comme Coca-Cola, Opel, Ford, IBM, la Standard Oil, partenanaire de IG Farben, et les banques Rothschild, G. Sachs, Morgan...
La politique de réarmement d’Hitler déboucha donc sur des contrats juteux pour les industriels américains par l’intermédiaire de banquiers comme Schacht, de groupes financiers allemands et, suisses. Ces groupes industriels appréciaient d’autant plus le régime que les syndicats avaient été réduits au silence. A la veille de Pearl Harbor, la valeur totale des participations industrielles en Allemagne était estimée à 475 millions de dollars. A noter que l’Union Bank fut associée à l’ empire industriel de Thyssen, sans le soutien financier duquel Hitler n’aurait sans doute pu accéder au pouvoir. Cette banque fut dirigée par Prescott Bush, grand-père de G.W Bush... Du Pont avait investi dans l’industrie d’armement allemand et fourni au Reich des armes et des munitions, via la Hollande. Le fondateur d’ITT, Sosthenes Behn, avait des relations très étroites avec le régime nazi, de même que Torkild Rieber, grand patron de Texaco. Le président de General Motors décrivait ce qui se passait en Allemagne en 1933 comme "le miracle du vingtième siècle !"

Il faut dire que, dans ces années, le fascisme ne posait guère problème aux USA. Il existait même un certain antisémitisme. Henri Ford lui-même, décoré plus tard par Hitler, avait publié dans les années vingt un livre virulent : Le juif international, qu’Hitler lut avec passion, et finança également la campagne pro-nazie inaugurée par le fameux aviateur Charles Lindbergh. Ces campagnes associaient antisémitisme et anticommunisme, comme le faisait la propagande nazie elle-même.
On comprend mieux pourquoi les intérêts allemands et américains ont pu fusionner à ce point. Pour la petite histoire, Hitler conservait une photo de H. Ford sur son bureau. L’auteur va jusqu’à dire que "sans les camions, chars, avions fournis par les filiales de Ford et de GM, sans les grandes quantités de matières premières stratégiques, notamment le caoutchouc, l’huile de moteur, le gazole et autres carburants acheminés par Texaco et la Standard Oil via des ports espagnols, les forces tant terrestres qu’aériennes n’auraient sans doute pas battu aussi facilement leurs adversaires en 1939-1940... Sans la technologie la plus avancée de communication et d’information fournie par ITT et IBM, Hitler n’aurait pu que rêver...

Même si l’opinion américaine était partagée au début de la guerre en Europe, les élites étaient prêtes à sacrifier l’Europe de l’Ouest sur l’autel de l’anti-soviétisme. Le mouvement "America first" s’opposait à toute intervention dans le conflit européen, bien que Roosevelt fût favorable à une intervention aux côtés de l’Angleterre.
Mais, dés que l’Allemagne s’installa dans une économie plus "fermée", sans mettre en péril les intérêts américains si nécessaires à la poursuite de la guerre, et lorsque la Grande-Bretagne apparut comme un marché énorme grâce à sa demande de matériels militaires, la politique de Washington s’infléchit : Grâce au "prêt-bail", qui ne fut pas un cadeau, la puissance impériale de l’Angleterre pouvait s’affaiblir, sa politique économique s’ouvrir à plus de concurrence, et sa position géographique servir de tête de pont aux intérêts futurs des américains en Europe.

Les USA ne voulaient initialement pas être des belligérants actifs. Ils finirent par accepter que l’URSS, nouvel ennemi des allemands, soulage l’effort de guerre des Britanniques, qui rapportait beaucoup, même si l’on ne croyait pas à un possible succès de l’Armée rouge. On commença donc à fournir à Moscou les premières armes, moyennant paiement comptant... "Un triomphe nazi sur les soviétiques n’était plus souhaité parce que cela se serait traduit par une mauvaise opération économique. Une telle victoire hitlérienne aurait en effet asséché l’abondante source de bénéfices que générait le prêt-bail."
Truman, au début de l’opération Barbarossa, s’exprimait ainsi cyniquement : "Si nous voyons l’Allemagne gagner, nous devrions aider la Russie et, si la Russie est en train de gagner, nous devrions aider l’Allemagne, pour que le plus grand nombre possible périsse des deux côtés !" Business is business !!

En fait, l’attaque allemande contre l’Union soviétique n’aurait pas été possible sans les produits pétroliers venant des USA. L’écroulement allemand sur le front Est entraîna la décision rapide d’élaborer des plans pour une traversée de la Manche. Il fallait aider Staline, "allié mal-aimé mais indispensable", mais aussi se préparer à limiter ses succès et son avancée rapide possible vers l’ouest.
Il est intéressant de s’attarder sur le climat de confiance et d’inquiétude qui régnait aux USA, face à leur nouvelle puissance conquise, dangereusement dépendante des immenses commandes militaires de l’État, aux marchés extraordinaires qui s’ouvraient pour eux en Europe et à la nécessité d’inonder la planète de leur produits d’exportation. Désormais, selon l’auteur, "une Union soviétique hostile était désormais beaucoup plus utile qu’une Union soviétique alliée" et "pouvait justifier des dépenses titanesques, dites de défense, qui pourraient servir à maintenir l’économie en plein essor dans l’après guerre." Cette option de "keysianisme militaire" profita évidemment aux plus grandes entreprises, qui bénéficièrent des campagnes anti-syndicales menées sous Mc Carthy, désireux de détruire la puissance des organisations ouvrières qui s’étaient développées pendant la période faste de plein-emploi, durant l’effort de guerre. D’où la propension à développer toujours plus l’industrie militaire et la nécessité de se trouver toujours de nouveaux ennemis.

L’auteur, ensuite, décrit la dénazification "sélective" opérée par les troupes d’occupation américaine. On réduisit l’interprétation du nazisme à une opération d’un groupe de "gangsters" ayant pris en otage le peuple allemand. Il insiste sur l’indulgence vis-à-vis des grands groupes industriels qui avaient profité du nazisme et qui l’avaient aidé sur le redémarrage rapide des usines américaines déjà installées, ayant souvent miraculeusement échappé aux bombardements. Pourtant, Opel avait été déclaré par les autorités nazies "entreprise de guerre exemplaire." IG Farben ne fut pas inquiété... L’Allemagne devint une terre promise, et les USA s’accommodèrent très bien de la partition de l’Allemagne, la partie la plus industrialisée étant sous leur zone d’influence.
Le plan Marshall, " qui fonctionna comme une carte de crédit collective dans le but que l’Europe de l’Ouest devienne cliente de l’industrie américaine, et qui permit à l’industrie américaine de tourner à plein régime", fut le puissant moyen d’américanisation de l’Europe, avec de magnifiques retours sur investissements.

Le dernier chapitre, intitulé : "Après 1945 : De la bonne guerre à la guerre permanente", ouvre sur l’après-guerre et sur les conflits dans lesquels les USA ont été impliqués afin surtout de ne pas ralentir la production des groupes fournisseurs de matériels militaires. La guerre froide, notamment, "força à investir massivement dans l’armement, et fut également une force de sabotage de la reconstruction de l’URSS." Ce fut un effort énorme et délibéré, comme l’affirme l’auteur allemand Jürgen Bruhn, visant à pousser l’Union soviétique vers la ruine économique par le biais de la course aux armements.
Les conflits dans lesquels sont engagés actuellement les USA ne visent-ils pas toujours le même but, malgré les dénégations et les justifications idéalistes ou de storytelling : Faire tourner le "Warfare State" ?

L’auteur ne cherche pas à être exhaustif, mais fait des choix, et veut mettre en évidence un aspect de la politique américaine qui a été trop souvent méconnu, refoulé, parfois systématiquement occulté. Il faut le lire pour en saisir toute la richesse d’informations.
(agoravox/les-usa-et-la-guerre-1939-1945)

 

1914-1945 : De la "grande guerre des classes" à la fausse "bonne guerre" (1h06)

Conférence de Jacques R. Pauwels à la Sorbonne, à Paris en 2015. L'auteur nous raconte la vraie histoire des deux guerres mondiales, pourquoi, les raisons, les enjeux, etc., "les secrets cachés" que vous n'avez pas appris à l'école, ni dans les livres d'histoire officielle, ni même dans certains documentaires... Vous n'aurez plus la même vision de l'histoire que vous croyez être...

 

Big business avec Hitler - Conférence avec Jacques R. Pauwels (1h48)

Jacques R. Pauwels analyse les relations qui unirent d’une part le monde des affaires en Allemagne et aux États-Unis, et d’autre part Hitler, le NSDAP puis le régime nazi. Le big business, c’est ainsi que Pauwels choisit de nommer le "grand capital", a soutenu Hitler de ses premiers pas en politique jusqu’à la guerre. En outre, à l'issue de douze années d'une dictature nazie dont ils avaient été les parrains, banquiers et industriels rejetteraient tous les crimes sur le dos d'Hitler et plaideraient pieusement "non coupables". Ce livre d'histoire bien documenté est de ceux dont l'élite économique ne souhaite pas entendre parler...

 

La raison première de ce soutien est simple : La peur du communisme au lendemain de la révolution d’Octobre. Hitler promettait de vaincre le marxisme et de briser les reins des organisations politiques et syndicales de gauche. On comprend qu’un tel programme ait pu séduire de larges pans du grand patronat en Allemagne et en Amérique. L’argent coula donc à flot pour aider celui qui éloignerait le spectre soviétique des entreprises allemandes et des filiales des groupes américains en Allemagne.
La seconde raison est d’ordre économique. Le régime nazi allait faire grimper les profits du big business de façon vertigineuse. Comment ? D’abord par l’augmentation des commandes de l’État en vue de préparer la guerre. Ensuite, en diminuant les salaires, en allongeant la durée de la journée de travail et en recourant au travail gratuit des déportés de camp de concentration.
Le livre insiste aussi sur l’implication du capitalisme américain. Il a entretenu de cordiales relations avec le régime une fois l’Allemagne entrée en guerre. La Blitzkrieg en Europe de l’Ouest puis l’opération Barbarossa en URSS ont bénéficié du soutien logistique des entreprises américaines. Les pétroliers américains pourvoyaient la Wehrmacht en essence, tandis que Ford fournissait les moteurs de camions.

Ce livre prend le contre-pied de nombreuses idées reçues actuelles relatives à cette période. Trois en particulier. 1 : Le nazisme aurait été imposé par une clique de gangsters, Hitler et ses proches, extérieurs à la société allemande de l’époque. 2 : Le peuple allemand serait tout entier et sans distinction responsable de la catastrophe nazie. 3 : Le nazisme s’expliquerait par le soutien des classes populaires séduites par le programme socialiste du parti nazi.
Ces trois récits ont ceci de commun qu’ils occultent totalement le rôle joué par les élites financières et industrielles, des deux côtés de l’Atlantique, pendant près de vingt ans...

 

Le site Internet de l'auteur : jacquespauwels.net

 

- Voir aussi :

ROOSEVELT, TRUMAN ET WALLACE

LA GUERRE FROIDE : 1945-1950

L'AMÉRIQUE CONTRE DE GAULLE - HISTOIRE SECRÈTE

HITLER, L'HISTOIRE JAMAIS RACONTÉE

PACTES AVEC LE DIABLE - USA ET 3ème REICH 

GLADIO, L'ARMÉE SECRÈTE DE L'OTAN

PROPAGANDE DE GUERRE - PROPAGANDE DE PAIX

GUERRE, MENSONGES ET VIDÉO

WALL STREET ET L'ASCENSION DE HITLER - Antony C. Sutton 

OPÉRATION OVERLORD : Le D-Day du débarquement en Normandie

D-DAY, LEUR JOUR LE PLUS LONG

LA BATAILLE DE BERLIN EN 1945, LA FIN DU IIIe REICH

LES ANNÉES 1950 : EISENHOWER, LA BOMBE ET LE TIERS-MONDE

1929, LE GRAND KRACH BOURSIER

PAX AMERICANA - La conquête du contrôle militaire de l'espace

L'EMPIRE INVISIBLE : LE NOUVEL ORDRE MONDIAL

TAFTA : LES ENJEUX DANGEREUX DU TRAITÉ TRANSATLANTIQUE

TAFTA, ACCORD DE LIBRE ECHANGE USA-UE : "BIENVENUE EN ENFER" 

SANS RETOUR : La Troisième Guerre mondiale, nucléaire

Les USA ont provoqué plus de 201 conflits armés sur les 60 dernières années 

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Publié dans Interview - Débat

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P
@bar6, Sandrine - Êtes-vous bien sûr que cette version de l'histoire de la 2ème guerre mondiale vue par Pauwels n'est pas une autre version aussi manipulée que celle de vos profs ?
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B
"on se fout vraiment de notre gueule!!!"<br /> Comment on peu nous mentir depuis toutes ces années sans scrupules??<br /> j'ai honte pour nos profs et le pays et ces présidents.....
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S
Super super intéressant !!!!<br /> Merci de me faire connaitre cette vérité parce que je croyais ce que j'ai apprise à l'école ou ailleurs, d’ailleurs !!!
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